Nom : Massey me vient de mon père Prénom : Kylie, unique prénom dérivé de « kad » et il signifie « combat » Surnom : / Âge :38 ans Date de naissance : 15 juillet 1985 Lieu de Naissance : Née à Bowen en Australie  Origines : De nationalité Australienne. De par mon père, je descends des Celtes du nord de l'Écosse et de vicking. Du côté de ma mère, je suis Islandaise et française. Orientation Sexuelle : Je suis hétérosexuelle Statut Civil : Célibataire, mais pas par choix. Métier : Chanteuse, mais aussi conceptrice sonore pour une entreprise de jeux vidéo. Depuis quand tu vis à Monaco ? À Monaco depuis un peu plus de 8 ans après que la mère ait hérité de la résidence et de la fortune de son oncle qui vivait à Monaco. Kylie s’est absentée pendant 2 ans environs, suite à une opportunité qu’elle a saisie au vol après avoir eu la chance d’être remarqué par une productrice de musique, qui possède un label, lors de mon premier concert dans ce bar de Yann Calloway, qui est depuis cher à son coeur. Pourquoi as tu tout plaqué ? Kylie et sa mère ont saisi cette opportunité après que la mère de Kylie ait hérité d'une somme d'argent et d'une maison d'un oncle monégasque, attirées par la promesse d'une vie excitante et pleine de possibilités dans ce petit paradis méditerranéen. Elles ont décidé de tourner la page sur leur ancienne vie à Bowen, qui rappelait trop le défunt mari de la mère de Kylie, et son père pour Kylie Quel sont tes qualités et tes défauts : Tendance à être têtue et à ne pas écouter les conseils des autres. Parfois trop idéaliste, à espérer que tout se déroulera parfaitement et de manière idéale. Cela peut parfois la conduire à être déconnectée de la réalité ou à ne pas anticiper les défis ou les obstacles potentiels. Susceptible au stress et à l'anxiété, ce qui peut parfois affecter sa performance. Un peu réservée au début, ce qui peut donner l'impression qu'elle est distante. Parfois trop critique envers elle-même et envers les autres, ce qui peut entraîner des conflits. Passionnée et dévouée à sa carrière musicale, prête à travailler dur pour atteindre ses objectifs. Créative et artistique, capable de trouver des solutions innovantes aux problèmes. Empathique et attentionnée envers ses amis et sa famille, prête à les soutenir dans les moments difficiles. Persévérante et résiliente, capable de surmonter les obstacles avec détermination. Authentique et honnête, elle reste fidèle à elle-même et à ses valeurs, même dans des situations difficiles. Groupe : Hiver Avatar : Jess Glynn Reserve ton avatar : N'oublie pas de réserver ton avatar, il te sera réserver pendant 7 jours, le temps que tu fasse ta fiche

Code:

[b][color=#cc9900]Jess Glynn[/color][/b][color=#cc9900] - @"Kylie Massey" - [12/05/2024][/color]

Raconte nous ta dernière histoire d'amour ? L’amour? C’est quoi l’amour? L’amour est un concept abstrait, quelque chose que je n’ai lu que dans des livres ou vu dans des films. Mais quand Yann est entré dans ma vie, j'ai commencé à ressentir quelque chose de nouveau, quelque chose d'indescriptible que je ne sais pas encore décrire. Je ne reconnais pas encore ce que je ressens encore, comme étant de l'amour, mais chaque fois que je suis avec lui, je me  sens épanouie et heureuse, et c'est tout ce qui compte. Que représente l'amour pour toi ? L'amour, c'est un sentiment profond qui nous transporte au-delà des mots et des gestes. C'est cette connexion unique qui nous unit à quelqu'un d'autre d'une manière inexplicable mais réconfortante. C'est une aventure pleine d'émotions intenses et de moments partagés qui donnent un sens à notre vie. As-tu déjà été amoureux ? Non, je ne pense pas être amoureuse. Enfin, je ne l'ai jamais été jusqu'à présent. Avec Yann, je me sens... différente. Mais je ne suis pas sûre de ce que c'est exactement. Peut-être que c'est juste de l'amitié, une connexion spéciale... Je n'arrive pas vraiment à mettre des mots dessus. Mais chaque fois que je suis près de lui, je me sens bien, je me sens... spéciale. Peut-être qu'inconsciemment, je sais que c'est plus que de l'amitié, mais je n’ose pas trop y penser pour l'instant. Serait-tu prêt-à-pardonner et redonner une seconde chance ? Je crois que tout le monde mérite une seconde chance, mais la confiance est une chose fragile. Si je sens que la personne est vraiment désolée et prête à changer, je pourrais envisager de pardonner. Cependant, il y a des limites que je ne peux pas franchir. Des actes de tromperie et de manque de fidélité sont des lignes que je ne tolérerai jamais, tout comme d'autres formes de trahison ou de non-respect. Même si je suis disposée à écouter et à comprendre, il y a des choses pour lesquelles je ne pourrais jamais pardonner ni donner de seconde chance.  

Je suis née à Bowen, une petite ville d’Australie. Je trouve que cela soit un privilège d'être née dans cette ville pittoresque et dynamique. Bowen est bien plus qu'un simple lieu de naissance ; c'est mon foyer, imprégné de souvenirs chaleureux et de liens profonds avec la communauté locale. Malheureusement cette ville est aussi imprégnée d’un douloureux souvenir, celui du décès de mon père, et je comprends qu’y vivre tous les jours soit difficile et pesant. Alors même si sur le moment je n’ai pas vraiment compris pourquoi maman avait décidé de jouir de son héritage, en quittant l’Australie pour Monaco, et notre maison familiale pour cette immense villa méditerranéenne, j’ai vite accepté, comprenant que vivre dans notre maison pour maman était difficile. Car si moi en rentrant je me réfugiais dans mon cocon, elle vivait dans les lieux où papa avait vécu avec elle. Tous les deux, toujours ensemble au moindre moment de la journée.
J'apprécie la beauté naturelle de Bowen, avec ses plages de sable blanc, ses collines verdoyantes et son climat ensoleillé. J'aimais me promener le long du rivage, sentir la brise marine caresser mon visage et écouter le murmure apaisant des vagues. Monaco c’est différent, bien moins verdoyant, mais le climat y est agréable et la mer et les plages secrètes et bien moins inondées de monde me sont agréables.
En tant que native de Bowen, j'ai un profond attachement aux traditions et à la culture locale. J'apprécie les festivités communautaires, les événements culturels et les coutumes qui font de Bowen un endroit unique et spécial. Pour moi, Bowen est bien plus qu'un simple lieu géographique ; c'est un sentiment d'appartenance et d'identité qui fait partie intégrante de qui je suis. Depuis que nous vivons à Monaco, Je retourne à Boyen dès que j’en ai l'occasion, amenant avec moi ma maman quand elle le désire. Car même si cet endroit lui fait beaucoup penser à mon père, il lui ravive aussi de doux souvenirs nostalgiques du temps où il était vivant.

Issue d'une famille aux origines écossaises par mon père, j'ai grandi dans une atmosphère imprégnée de folklore celtique et de traditions familiales. Mon enfance a été marquée par les récits envoûtants de mon grand-père sur les Highlands et les légendes des anciens clans. Ma mère me captivait avec ses histoires sur les mystères de son pays, l’Islande, et les légendes du Huldufólk, les "gens cachés" de la mythologie islandaise. Inspirée par ces récits, même à l'âge adulte, je continue de perpétuer la tradition des offrandes aux Huldufólk. Ainsi, chaque fois que je me trouve près de la nature, je laisse des petits cadeaux pour ces êtres mystérieux, renforçant ainsi mon lien avec mon héritage islandais et nourrissant mon âme et mon esprit.

Depuis toujours, je suis une femme positive et forte qui n’a aucune honte à pleurer même en publique, car pour moi pleurer n’est pas une faiblesse, c’est le signe qu’on a trop longtemps été fort et qu’on a besoin de souffler un peu. La dernière fois que j’ai pleuré, c’était une nuit sombre et pluvieuse où j'étais seule dans cette immense villa vide, réfléchissant à ma vie et à mes aspirations. Alors que je me laissais emporter par mes pensées, une chanson que j'avais écrite il y a longtemps a commencé à résonner dans ma tête, évoquant des souvenirs douloureux et des émotions refoulées.

Les paroles de la chanson évoquent un amour perdu et mes luttes pour trouver ma place dans le monde. En me laissant submerger par la mélodie et les mots, j'ai senti les larmes couler sur mes joues, libérant enfin les émotions que j'avais gardées enfouies en moi pendant si longtemps.

C'était un moment de vulnérabilité et de catharsis, un moment où j'ai réalisé à quel point la musique était profondément liée à mes émotions les plus profondes. Et même si ses larmes ont séché, cette nuit-là restera gravée dans ma mémoire comme un moment de connexion intime avec ma propre âme.

Je n'ai pas de phobies graves ou invalidantes, mais j'ai une certaine aversion pour les espaces confinés en raison d'une légère claustrophobie, et je peux ressentir une appréhension envers les araignées ou les serpents, comme beaucoup de personnes.

Cependant, ces peurs ne dominent pas ma vie ou ne m'empêchent pas de fonctionner normalement au quotidien. Je peux les gérer avec rationalité et les surmonter lorsque cela est nécessaire. Enfin si ces choses et surtout les araignées sont sur moi, ça c’est autre chose…

Si j’adore Noël, ce que je préfère c’est le carnaval, et Halloween surement parce que ces fêtes me connectent à mes ancêtres, à leurs histoires et à leurs peuples.

J'aime toujours me déguiser pour les fêtes et les occasions spéciales. Je peux choisir des costumes variés en fonction de mon humeur et de l'événement. Parfois, j' opte pour des déguisements fantaisistes et féeriques, rappelant mon amour pour la magie et l'enchantement. D'autres fois, je peux préférer des costumes plus sophistiqués ou thématiques, m'adaptant à l'ambiance de la fête ou à mes propres intérêts du moment. Quoi qu'il en soit, je mets toujours ma créativité et mon éclat personnel dans mes choix de déguisement, ajoutant une touche de magie à chaque célébration.

Enfant, j’étais à la fois curieuse et rêveuse. Je passais des heures à explorer les collines et les plages de Bowen, fascinée par la beauté de la nature qui l'entourait. Mon imagination débordante m’entraînait souvent dans des aventures imaginaires, où j'étais tour à tour une exploratrice courageuse, une princesse intrépide ou une mystérieuse sorcière des bois.

Tout gosse, je rêvais secrètement de découvrir un trésor caché, inspiré par les histoires d'aventure et de mystère que je lisais dans les livres et entendais dans les légendes. J'imaginais des expéditions excitantes à travers des contrées lointaines, résolvant des énigmes complexes et déterrant des trésors perdus depuis longtemps.

Mes déguisements préférés au carnaval était celui de fée ou d'elfe. J'aimais revêtir des robes scintillantes, des ailes délicates et des couronnes de fleurs, me perdant dans mon imagination enchantée pendant les festivités.

À Halloween, en revanche, j'étais plus encline à opter pour des déguisements plus sombres et mystérieux. Je pouvais me transformer en sorcière ensorcelante, avec une robe noire et un chapeau pointu, ou en vampire élégant avec des capes et du maquillage effrayant.

Malgré ma nature réservée, j'étais également connue pour ma gentillesse et ma compassion envers les autres. J'étais la première à tendre la main à ceux qui en avaient besoin et à offrir mon soutien à mes amis et camarades de classe. Ma sensibilité et mon empathie faisaient de moi une confidente précieuse pour ceux qui étaient en difficulté.

Passionnée par la musique depuis mon plus jeune âge. je chantais des chansons dès que j'en avais l'occasion, souvent accompagnée par le son des vagues qui se brisaient sur le rivage ou le vent qui soufflait à travers les arbres. Ma voix captivait ceux qui m'écoutaient, déjà à un si jeune âge.

C’est à cette période que j'ai commencé à montrer un talent inné pour la musique. Mes parents, reconnaissant mon don, m'ont encouragée à suivre des cours de chant et à apprendre plusieurs instruments. Je suis devenue une chanteuse passionnée, capable de captiver n'importe quel public avec ma voix que l'on dit envoûtante et mon charisme sur scène. Lors de mon premier concert en solo à l'âge de 16 ans, j'ai ressenti un mélange d'excitation et de nervosité, mais une fois sur scène, j'ai été transportée par la musique et j'ai su que je voulais poursuivre une carrière dans la musique. Ma prestation émouvante a captivé le public et a marqué le début de ma passion pour la scène.

Depuis que je fais de la scène, que je fais des concerts et participe à des soirée, ou festival, j’en ai entendu des choses à mon sujet, parfois même des choses tirées par les cheveux, comme cette chose folle qu’on a longtemps entendu dire à mon sujet à Bowen et dans les alentoures. D’ailleurs c’est la chose la plus folle qu’on ai dit sur moi. On a raconté que j’étais dotée d'un don magique hérité des fées ou des elfes, conférant à ma voix et à mes chansons un pouvoir envoûtant et enchanteur.

Selon les récits qui circulaient dans la communauté de Bowen, Je serais liée aux êtres mystiques de la nature, particulièrement aux fées ou aux elfes, connus pour leur connexion étroite avec la musique et les arts. On raconte que mes ancêtres ont été bénis par ces êtres avec un don exceptionnel : une voix enchanteresse capable de charmer les esprits et de captiver les cœurs.

J'aurais hérité de ce don magique, faisant de ma voix un instrument de pouvoir et de magie. Lorsque je chante, les mélodies que je crée auraient le pouvoir de transporter ceux qui m'écoutent dans un autre monde, les enveloppant dans un enchantement profond et les transportant vers des royaumes de rêve et de féerie.

Bien sûr, il n'y aurait aucune preuve tangible de ce don magique, mais cette rumeur a ajouté une aura de mystère et d'émerveillement à ma réputation, renforçant ainsi le lien entre ma voix et mon héritage mystique.

Après avoir obtenu mon diplôme d'études secondaires, j'ai décidé de poursuivre ma carrière musicale et j'ai commencé à me produire dans des bars locaux et des événements communautaires à Bowen, jusqu’à devenir une artiste émergente, invitée à me produire dans un festival de musique local. Si mes parents me soutenaient, et que ma mère continue à me soutenir dans la voie que j'ai choisie, ils désiraient que je suive des études universitaires. Pendant mes études universitaires, j'ai choisi de me plonger dans la recherche sur mes ascendants islandais et écossais, désireuse de mieux comprendre mes racines et mon héritage culturel. Passionnée par les récits envoûtants de ma mère sur le Huldufólk et les légendes des Highlands de mon grand-père paternel, j'ai choisi de me spécialiser dans l'étude des mythes et légendes nordiques et celtes. Mes recherches m'ont amenée à explorer les traditions ancestrales, les croyances religieuses et les pratiques rituelles de mes ancêtres, plongeant ainsi dans un monde de magie, de mystère et d'aventure. Ces études ont non seulement enrichi mes connaissances académiques, mais ont également renforcé mon lien avec mes racines et ont nourri mon imagination débordante. Pour moi, plonger dans les histoires de mes ancêtres était bien plus qu'une simple quête académique ; c'était une véritable exploration de mon identité et une manière de me connecter à mon passé.

Durant mes années d'université, j'ai travaillé comme serveuse dans un café local pour financer mes études, jonglant entre mes cours et mes concerts en soirée. J'étais connue pour égayer la journée de mes clients avec ma voix enchanteresse et mon sourire contagieux.

Je n’étais pas une de ces étudiante qui ne loupais pas une occasion pour faire la fête, non, mais j’avais une vie forte douce et agréable, sans réel peur, mais les choses ont commencé à changé après le décès de mon père.  mon plus grand soutien et mentor dans ma carrière musicale, qui est décédé subitement. Mon père était non seulement une source d'inspiration pour moi, mais aussi mon plus grand défenseur, m'encourageant toujours à poursuivre mes rêves et à croire en moi-même. Sa mort soudaine a laissé un vide immense dans ma vie, laissant derrière moi un mélange de chagrin, de colère et de désespoir. Ce jour-là, j'ai dû faire face à une perte déchirante et à un sentiment d'incertitude quant à mon avenir, transformant ma vie de manière irréversible.

Depuis et progressivement s’est insinué dans ma vie la peur de l'abandon. Je crains profondément d'être laissée seule ou rejetée par les personnes qui me sont chères. Cette peur, qui parfois me rend réticente à m'ouvrir complètement aux autres et à établir des liens profonds, de peur d'être blessée à nouveau. Cependant, malgré cette peur, j'aspire également à trouver une connexion authentique et durable avec les autres, ce qui me pousse à surmonter mes craintes et à prendre des risques émotionnels pour l'amour et l'amitié.

L’amour vaste sujet de conversation n’est ce pas? Malgré mon succès sur scène, j'ai toujours ressenti un vide dans ma vie personnelle. Célibataire, je n'ai jamais vraiment trouvé quelqu'un avec qui partager ma passion pour la musique et mon amour pour les légendes écossaises. Pourtant, je reste optimiste quant à l'avenir et continue de croire que le destin me réserve quelque chose de spécial. Si longtemps j’ai bien cru que je faisais partie des oubliés de l’amour, ceux qui sont destinés à autre chose qu'à trouver l’amour de sa vie en une seule personne. Me réconfortant dans le fait que j’avais une vie remplie de bonheur et de choses que peu de personnes peuvent ne serait-ce que toucher du bout du doigts. Le soir où je me suis produite au Calloway’s bar quelque chose a provoqué en moi une sensation que je n’avais encore jamais ressenti, et après plus de deux ans je commence à réaliser inconsciemment que l’amour est entré discrètement dans ma vie ce jour-là.

Lors du showcase dans le bar de Yann, je me souviens de la sensation électrique qui parcourait l'air alors que je chantais sur scène. Après ma performance, j'ai pris un moment pour me mêler à la foule, accueillant les compliments chaleureux des spectateurs. C'est là que j'ai repéré Yann, se tenant près du bar, un sourire éclatant aux lèvres. Nous avons échangé quelques mots, une conversation brève mais chargée d'une énergie palpable. Il y a eu une étincelle instantanée entre nous, mais tous deux nous étions trop timides pour explorer davantage cette connexion naissante. Je me souviens encore du timbre de sa voix, de la chaleur de son regard, et de la complicité qui semblait naître entre nous. Même si notre échange fut bref, Yann a laissé en moi une impression profonde et une curiosité grandissante à son égard. Pendant longtemps, je me suis souvent demandé ce qui aurait pu se passer si nous avions eu plus de temps pour nous parler et j’ai dû attendre plus de deux ans avant de commencer à le découvrir, en février de cette année (2024).

Le 14 février 2022, soit 14 ans après le décès de mon père, le jour de la Saint-Valentin, journée de l'amour et de l'affection, j'ai donc rencontré Yan Calloway. Ce jour ajoutant une dimension romantique à notre première rencontre. Le signe d'une connexion profonde et significative établie entre Yann et moi. Un signe du destin, cela évoquant en moi un sentiment de renouveau et de continuité dans ma vie.

Nous nous sommes perdus de vue pendant 2 ans, car après notre première rencontre, j'ai reçu une offre irrésistible pour partir en tournée nationale avec un groupe renommé, m'offrant une exposition et des opportunités que je ne pouvais pas refuser. Si au cours de cette tournée nationale, j'ai eu l'occasion de rencontrer certains de mes héros musicaux et d'apprendre d'eux, ce qui m' a inspirée à continuer à m'améliorer en tant qu'artiste. Cette tournée m'a éloignée de Monaco pendant plus de 2 ans.

J’ai touché du bout du doigts mon rêve le plus fou de devenir une célèbre chanteuse internationale, parcourant le monde et partageant ma musique avec des millions de fans. Mais si je m'imagine me produire sur de grandes scènes, devant des foules enthousiastes, et inspirer les gens avec mes chansons et ma voix envoûtante. Et même si ce rêve représente pour moi l'accomplissement ultime de ma passion pour la musique et l'artiste que j'aspire à devenir. J’ai fini par ressentir l’urgence de rentrer à Monaco pour retrouver Yann.

Un appel inconscient qui s’est fait de plus en plus fort et impossible à repousser, m’a ramené sur les bords de la mer méditerranée. C’est ainsi que je suis rentrée fin février pour une période indéterminée, le besoin de comprendre ce que je ressens et de comprendre pourquoi je pensais autant à Yann était plus fort que de rester en tournée jusqu’à une date inconnue. A peine remise de mes multiples heures d'avion, je me suis rendu au Calloway’s Bar.
Un retour riche en émotion dans ce lieu qui a changé ma vie, bien plus que ce que le conscient me laisse voir. ce lieu où nos regards se sont croisés pour la première fois... Un retour, là où notre histoire a pris racine, où chaque note de musique résonne avec nos souvenirs partagés.

Aujourd'hui, je continue de me consacrer à ma passion pour la musique, écrivant de nouvelles chansons, me produisant sur scène et concevant des sons pour une entreprise de jeux vidéo. (responsable de la création et de l'intégration des éléments audio dans les jeux vidéo, y compris la musique, les effets sonores et les dialogues. ) Ce travail me permettant d'utiliser ma passion pour la musique et le son dans un domaine créatif et en constante évolution.

Mais surtout depuis mon retour je passe du temps avec Yann.  Après des retrouvailles inattendues pour Yann nous avons passé la soirée ensemble à discuter jusqu’au bout de la nuit à boire du bourbon. Boisson alcoolisée qui est devenue une de celles que je prends le plus plaisir à goûter. Aujourd'hui, il me laisse une place pour chanter dans son bar dès que je le désire, j’y ai même un horaire, et chacun de ces soirs  nous partageons des petits moments précieux après la fermeture, à parler pendant des heures goûtant au bourbon. J’aime vraiment passer du temps avec Yann, à nous apprendre, à nous découvrir, à nous parcourir.