Yann Calloway
Info Personnage
Nom : Je suis un Calloway, nom de mon père, famille de médecin de New York depuis 3 générations
Prénom : Ma mère aimait beaucoup Samuel, mais papa préférait Yann. Alors on m’a donné Yann Samuel comme prénom
Surnom : Yann est déjà cours, mais maman aimait bien m’appeler Yanou
Âge : 40 ans tout juste
Date de naissance : Je suis né le 1er Avril 1984
Lieu de Naissance : Ma ville de naissance est New York
Origines : Papa était américain originaire de New York. Maman vient de la France, arrivée à New York quand elle était gamine.
Orientation Sexuelle : Je n’ai jamais essayé ni l’un ni l’autre, mais dans ma tête j’ai une préférence pour les femmes
Statut Civil : Je suis 100% célibataire.
Métier : Je suis propriétaire d’un bar et barman tout à la fois, habitant au dessus de celui-ci.
Depuis quand tu vis à Monaco ? Il y a 10 ans, j’ai trouvé refuge à Monaco, suite à une décision folle. J’ai laissé tourner le Globe et mon doigt s’est arrêté en France et c’est à partir de là que j’ai fait mes recherches pour trouver la ville que je désirais. Tout le processus de déménagement à mit un an et demi à se préparer. Je ne voulais pas arriver les mains vides.
Pourquoi as tu tout plaqué ? Suite à la mort de mes parents qui désiraient une autre vie pour moi, que celle que je désirais. C’est sans oublier l’ignorance de mon jumeau sur ma personne. J’ai donc plaqué ma vie à New York, pour une nouvelle aventure et vie à Monaco
Quel sont tes qualités et tes défauts : Je suis quelqu’un de calme, de posé et très sociable. Je n’ai pas beaucoup d’amis, mais en soit c’est la qualité qui compte et non la quantité. Je suis protecteur et aidant. Je peux être très casse-cou aussi, j’aime ressentir l’adrénaline que me procure mes ballades à moto, j’aime aller vite, c’est ma façon de me défouler quand j’en ai besoin. Je suis facilement irritable, surtout quand on me parle de mon passé. Je suis quelqu’un de peureux, juste parce que je ne sais pas ce que l’avenir me réserve et la peur de tout perdre encore, me terrifie. Je possède une impulsivité que personne ne connaît, parce que je l’utilise quand je suis seul et que j’ai envie de me défouler, je peux donc briser tout sur mon passage quand je passe une mauvaise journée. Je peux être envahissant avec mes clients, étant très sociable, je suis du genre à passer beaucoup de temps à aller les voir pour voir si tout va bien. Je suis quelqu’un de très tendu d’ordinaire, qui se fâche au moindre désaccord de la vie.
Groupe : Hiver
Avatar : Ian Somerhalder
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L'amour et ton personnage
Raconte nous ta dernière histoire d'amour ? Je n’ai aucune histoire d’amour. J’ai 40 ans et je suis toujours puceau. Alors c’est quoi l’amour? Pour moi, l'amour il arrive quand il doit arriver. Je ne suis jamais tombé amoureux. Je crois que c’est le destin qui choisit, pas moiQue représente l'amour pour toi ? L’amour pour moi, c’est quelque chose que l’on partage à deux et pas que d’un seul côté. Je crois au véritable amour, qui avec ta compagne, ça doit être réciproque. Un coup de foudre, peut-il être le véritable amour? Une attirance envers quelqu’un qui te plait, peut-il l’être aussi? Ce que je sais, ce, en ce qui me concerne, le véritable amour peut être quelqu’un que tu as vu qu’une seule fois et que tu espères la revoir un jour, alors que personne d’autre ne t’a fait cet effet d’attirance, de compassion et d’envie, que cette personne que tu n’as pas revu avant 2 ans As-tu déjà été amoureux ? J’ai 40 ans et non, jusqu’à maintenant, je n’ai jamais été amoureux. Je suis quelqu’un de solitaire et mon coeur ne s’est jamais penché sur cette envie d’être amoureux un jour. J’ai toujours suivi le destin déjà tout tracé de ma vie. Je laisse mon coeur choisir la bonne personne. Et encore aujourd’hui, après deux mois de ce retour de cette fille qui me fait de l’oeil, je ne peux pas dire si j’en suis amoureux, car oui elle me plait. Oui j’ai envie d’être avec elle, mais en suis-je amoureux? Non, parce que je ne la connait pas assez pour ça. Si je dois être amoureux ça doit l’être pour la vie, qu’elle soit la seule à ma vie et que ce soit réciproque aussi Serait-tu prêt-à-pardonner et redonner une seconde chance ? Cela dépendrait de la faute commise. Une infidélité est impardonnable à mes yeux et ni de chance à redonner. Des mensonges sur quelque chose qu’on arrive pas à partager avec l’autre et qu’on transforme autrement, est pardonnable, si ça ne concerne pas l’infidélité.. Ce que je peux pardonner et redonner une chance, serait un abandon pour un départ obligé. Une longue tournée de concert sans ma présence. Tout ça est pardonnable, même si ce sont des choses qui me blesseraient, parce que la vie en est ainsi. On ne peut pas empêcher quelqu’un de vivre sa vie, même si on désirerait qu’elle ne vive pas cette vie. En ce qui me concerne, je ne romprai pas ni ne divorcerai, parce que ma compagne passe moins de temps avec moi qu’avec sa passion ou son boulot. Je lui laisserai toujours une chance de se faire pardonner.
La vie de ton personnage
Le Calloway’s Bar
*Mon bar, se nomme, “Calloway’s Bar”, il est charmant et permet aux gens de venir débuter en tant que chanteur dans mon bar. J’offre des soirées Samedis en chanson. Les vendredis c’est pour les soirées célibataires. Lors d’évènements spéciaux de la ville dans l'année, j’offre des soirées thèmes de ceux-ci le jour de l'événement. Les gens qui viennent chanter dans mon bar, ce n’est pas moi qui les ai interpellés, mais eux qui venaient me voir pour faire une soirée et un peu d’argent.
J’ai accueilli plusieurs chanteurs débutants dans mon bar. Tous différents les uns des autres. Des femmes et des hommes. Ce que je m’apprête à dire, me surprend moi-même. Une seule d’entre tous les invités m’a ému. Son chant, sa beauté, sa passion, m’ont touché dans tout. Mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas approfondi cette connaissance d’un soir. J’ai joué mon rôle de propriétaire sans aller plus loin que le boulot dans nos discussions. Mais bon dieu que j’aurais aimé l’ajouter dans mon cercle d’amis restreint, elle aurait pu en faire partie. Ce que je regrette depuis, me disant à l’époque que je le ferai la prochaine fois qu’elle viendra chanter. Elle n’est jamais revenue… jusqu'à il y a deux mois. Elle était venue chanter dans mon bar il y a deux ans…*
…Je suis né à New York le 1er avril 1984, tout juste après mon frère jumeau. Quand mes parents sont morts, ils nous ont laissé un bel héritage. Mon frère à pris sa part et est parti faire sa vie de son côté. Alors moi j’ai décidé d'ouvrir un bar, mais pas à New-york… Mon côté de folie de gamin est ressorti et j’ai choisi, au hasard une destination sur le globe et c’est tombé sur l’Europe et à partir de là, j’ai choisi une ville qui me plairait et qui me permettrait d’ouvrir mon bar et j’ai choisi Monaco après d’innombrable recherche sur la ville. Voilà comment je suis arrivé ici. Je me plais bien, je mène une belle vie. J’adore cette ville. J’ai acheté un vieux bar à l’abandon et je l’ai retapé pendant un an, avant de pouvoir enfin l’ouvrir. À mon arrivée, j'ai bossé en tant que serveur dans un bar, tout en prenant un cours de mixologie. Aujourd’hui, cela fait 9 ans que j’ai ouvert le “Calloway”s bar” avec ses clients habitués.
… Gamin, j’étais très rêveur, loin de la réalité. Surtout solitaire et distant avec les autres enfants. Mon frère jumeau me suffisait à la vie. Mes parents aussi. J’étais bon élève et toujours à mon affaire quand il s’agissait des études. Mon père a toujours bien fait mon éducation là-dessus, alors je savais être rêveur dans les bons moments de mon enfance. J’étais très créatif, autant manuellement que imaginatif. Alors je tenais un journal intime, qui aujourd’hui me fait rire en le relisant. Réalisant quel genre d’enfant j’étais et combien j’en ai honte. C’est grâce à ce journal que j’ai su me placer dans la vie et m’en aller dans le droit chemin, en quelque sorte, comme je n’ai pas fini comme je l’aurais voulu…
J’ai dû en rêver des choses gamin, mais je crois que je suis devenu quelqu’un que je ne voulais pas être. Et je crois que ce rêve que j’ai toujours désiré est en train de se vivre. Mon père était médecin, il s’en allait sur la voie de la réputation mondial quand il est mort, Lui il rêvait que je sois comme lui ou mon frère, mais mon frère était têtue, alors étant plus posé que lui, j’ai décidé de faire plaisir à mon père, je me suis orienté en médecine. Alors que mon rêve de gosse c’était de posséder mon propre bar, j’avais 8 ans à l’époque quand j’ai rencontré mon grand père maternelle pour la première fois, je n’irai pas dans les détails du pourquoi je l’ai pas connu avant, mais il était barman de son propre bar et c’est là que j’ai compris que j’étais bien plus comme lui que comme mon père ou ma mère, tout comme mon frère était sans doute bien plus comme grand-père. Papa avait refusé de reprendre le bar après la mort de son beau père alors qu’ils étaient en froid, vu la profession de son gendre. Mais quand grand-père est décédé, je n’ai rien fait pour en être le propriétaire. J’avais beau aimer mon père, mais je voulais qu’il soit fier de moi, alors je n’ai rien laissé paraître de mon désir le plus profond, être propriétaire d’un bar. Ma mère vient d’une famille de barman qui a épousé le fils de médecin. Quel beau mélange…
… C’est dur à croire, mais je ne suis pas quelqu’un qui verse des larmes. La seule fois ou j’ai pleurer, en tant qu’adulte, car oui, tous les enfants pleurent quoi, c’est à la mort de mes parents, il y a 11 ans. Nous étions une famille tissée serrée, mes parents, mon frère et moi. Ils sont morts dans un accident de voiture, un face à face, du temps où je vivais à New York. Mon deuil a duré plusieurs mois. C’est aussi la même année que mon jumeau a décidé de faire sa vie de son côté. Malgré qu’on soit identiques, nous n’avons jamais vraiment été très proches. Même si son départ m’a fait aussi pleurer, perdant ainsi, d’une certaine façon, le seul membre de ma famille restante…
… C’est sans parler des peurs de la vie, alors que je vais vous dire ce qu’est ma plus grande peur. Ça serait de me retrouver dans la rue du jour au lendemain, car tout es possible. Dans le sens que je parle, que si mon bar en devenait à faire faillite et que je serais obligé de l'abandonner, sans pouvoir avoir ce pouvoir de le vendre. Tout pourrait arriver, alors oui, cette peur de tout perdre un jour me terrifie…
… Vous savez, on m’a toujours dit que j’étais immature et inconscient. Surtout quand il s’agit de ma vie. J’adore profiter de la vie, être casse-cou dans mes moments libres. Bien sûr, je sais faire attention à ma personne, je ne suis pas bête à ce point. Mon entourage cherche juste à me protéger de ce monde bête et rempli de danger. Quelle est la vie sans danger? Rien du tout. Alors oui, j’aime le danger, sans pour autant être immature, ce que je ne suis pas. Mais oui je suis casse-cou et j’aime l’adrénaline et profiter de la vie. Alors je pars souvent à moto rouler vite juste pour ressentir l’adrénaline que cela me procure. Alors que je n’ai plus vraiment de proche pour me dire que ce que je fais est immature ou dangereux, alors oui, je profite de la vie à fond depuis dix ans….
… Le plus beau jour de ma vie, est celui ou je suis arrivé ici, dans cette ville, pour faire ma nouvelle vie. Plein de rêve de gamin allait enfin se réaliser. J’ai acheté ce vieux bar que j’ai dû retaper moi-même. J’étais aux anges de pouvoir enfin vivre mon rêve. Par contre, le pire jour de ma vie, est bien évidemment celui où mes parents sont morts. Je vais toujours me souvenir de comment j’ai appris la nouvelle. J’étais en cours faisant mon internat et c’est là que j’ai su que j’allais tout abandonner, pas par plaisir ou par tristesse, mais plutôt par soulagement. Malgré que j’adorais mes parents, que mon père était mon Héros, je n’ai jamais voulu ça pour moi, être médecin. La fierté de mon père, je l’ai perdu le jour de sa mort. Je sais qu’il était fier de moi, mais ce n’était pas moi. Par honneur pour mon père, je n’ai pas gardé mon statut de médecin. Oui, ce jour était le pire de ma vie, parce que je venais de perdre mes parents, mais aussi ce que je devais devenir à ses yeux…
… Pour finir, ce jour-là de février 2024, il y a presque 3 mois, je l’ai enfin revue. Cette beauté, cette chanteuse qui est devenue une amie depuis, m’est enfin revenue deux ans après notre rencontre, cette rencontre qui n’avait duré que l’espace d’un moment. J’avais regretté de ne pas avoir approfondi la conversation en dehors du boulot. Aujourd’hui, je lui laisse de la place pour chanter dans mon bar, elle a son horaire et on a ces petits moments entre nous après la fermeture, à papoter de tout et de rien autour d’un bourbon. Même que parfois, je l'accompagne à la guitare, alors que j'en joue parfois seul dans mes libres moments, c'est un instrument de musique qui m'apaise et me calme dans mes moments de crise de malaise et d'anxiété, mais surtout quand je déprime. Killie me plait, plus que je ne l’ai toujours cru. Je la désire, plus qu’elle ne pourrait le croire. Cette amitié que nous avons développée pourrait nous mener au véritable amour. Je l’espère de tout mon coeur.
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Jeu 2 Mai 2024 - 21:20
Félicitation Invité, te voilà validé ! Pour commencer, laisse nous te souhaiter un excellent jeu sur SWEET LITTLE TOWN, nous espérons que tu vas passer un très bon moment en notre petite compagnie !